Vous dirigez votre propre entreprise et vous exportez des marchandises à l'étranger. En tant qu'exportateur vous avez donc de nombreux documents commerciaux à traiter.
Vous expédiez des marchandises à l'étranger mais ne voulez pas y joindre les documents commerciaux y afférents? Peut-être préférez-vous déléguer cette tâche? Dans ce cas, l'Encaissement documentaire à l'exportation KBC est la solution idéale.
Qu'est-ce que l'Encaissement documentaire à l'exportation KBC ?
- Il vous permet de confier à KBC l'ordre d'encaissement en vue de libérer des documents commerciaux en faveur d'un importateur étranger (moyennant paiement ou acceptation d'une traite).
- KBC transmet ensuite cet ordre à un correspondant situé dans le pays de l'importateur.
- C'est ce correspondant étranger qui effectue l'ordre de facto.
À qui est-il destiné ?
L’encaissement documentaire à l’exportation s’adresse aux exportateurs qui souhaitent limiter l’administration et le suivi de leurs ventes en confiant ces tâches à KBC.
Avantages
- L'acheteur n'a pas accès aux documents en cas de refus de paiement ou d'acceptation. Il n'aura pas accès non plus aux marchandises - s'il s'agit d'un transport maritime - étant donné qu'il ne peut respecter les obligations douanières et comptables.
- L'Encaissement documentaire à l'exportation KBC s'accompagne d'une technique de paiement moins onéreuse et de formalités administratives plus simples que le crédit documentaire à l'exportation.
- Vous pouvez gérer vos encaissements documentaires à l'exportation grâce à KBC-Flexims.
Quels sont les services compris ?
- KBC traite votre encaissement documentaire et le remet le jour même au service de courrier express, en même temps que les instructions d'encaissement. Dans le cas contraire, vous recevez une compensation de 25 euros par encaissement.
- Vos paiements sont effectués dans les 24 heures qui suivent leur arrivée chez KBC.
- Procédure de rappel sur mesure: KBC suit l'évolution de la situation auprès de la banque étrangère tant que le paiement n'a pas été effectué ou tant que la traite n'a pas été acceptée.
Attention !
L'exportateur supporte le risque que les documents ne soient pas levés ou que la lettre de change ne soit pas payée à l'échéance.