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Pour KBC, la protection de la vie privée n'a rien d'une formalité

Les principes sur lesquels nous fondons notre réflexion sur la vie privée chez KBC se traduisent en quelques concepts apparemment simples:

Seul le client est propriétaire de ses données personnelles.

  • KBC ne traite pas les données personnelles sans raison ou base légale claire.
  • KBC dit ce qu'elle fait des données personnelles.
  • KBC assure la meilleure sécurité possible pour les données personnelles.

Bien entendu, les principes ne couvrent pas l'ensemble de la législation (qui est complexe), mais constituent un fil conducteur à suivre dans la pratique.

De par la nature même de ses activités, KBC est bien informée de certains aspects de la vie privée de ses clients et d'autres parties prenantes. Les transactions que nous effectuons, nos avoirs financiers, notre, notre partenaire, nos enfants, notre lieu de résidence, notre voiture... tôt ou tard, tout doit passer par la banque ou la compagnie d'assurances, d'une manière ou d'une autre.

Ces données ne sont pas seulement de l'or entre les mains des spécialistes du marketing, elles peuvent aussi donner lieu à des abus, par exemple si elles sont étalées sur la place publique.

Les obligations découlant d'autres législations complètent la liste des données, y compris celles qui, à première vue, concernent l'entreprise mais pas le particulier.  

Le client est propriétaire : finalité et base juridique du traitement des données

Cette affirmation reflète plus qu'une façon de penser. C'est un position de départ.

Si vous partez du principe que le client est et reste propriétaire, vous ne le dégradez pas, lui et ses données, au rang d'ingrédient de votre fonds de commerce mais vous en prenez grand soin, comme vous le feriez pour une voiture de location. Vous pouvez traiter les données, mais uniquement aux fins que vous avez convenues contractuellement, que le législateur vous oblige à collecter, pour lesquelles vous avez obtenu le consentement ou pour lesquelles vous estimez que le traitement est justifié.

Attardons-nous quelque peu sur la notion de traitement justifié. Un exemple : les banques sont tenues de garantir des paiements sûrs et fiables et de lutter contr la fraude (comme le blanchiment d'argent). Mais elles n'étalent évidemment pas les moyens utilisés pour lutter contre la fraude sur la place publique. Si vous tenez un magasin, vous n'affichez pas non plus le mode d'emploi de votre système d'alarme sur votre porte. Et ce que vous ne ferez certainement pas, c'est demander au fraudeur l'autorisation de traiter ses données ou de conclure un contrat avec lui. Dans ces cas, la seule base juridique qui reste est l'intérêt légitime. Cependant, vous n'entrerez pas dans une agence KBC en brandissant une pancarte "Intérêt légitime".

Non, KBC exige que vous démontriez cet intérêt d'une manière clairement documentée, évaluée de manière critique par diverses parties et testée par rapport à la législation, à la pratique juridique et, peut-être plus important encore, au sentiment que l'individu peut avoir à cet égard. Il n'y a pas que KBC qui doit avoir le sentiment que quelque chose est justifié. Le public doit l'avoir aussi.

Le fait pour le client d'être propriétaire implique aussi d'autres obligations que KBC prend très au sérieux. La loi vous autorise en effet à demander à KBC quelles données vous concernant elle conserve dans ses fichiers. Vous avez aussi le pouvoir de faire corriger des erreurs, de faire effacer des données qui ne sont plus pertinentes ou dont le traitement ne sert plus à rien.

Dites ce que vous faites

Dans le domaine du respect de la vie privée, la transparence est élémentaire. En effet, le sentiment que vous éprouvez lorsque quelqu'un d'autre utilise vos données personnelles a beaucoup à voir avec ce que vous en attendez.

De même, l'aspect formel d'une communication ouverte est aussi examiné à la loupe. KBC a pris grand soin de rédiger une déclaration de protection de la vie privée officielle, juridiquement correcte et complète et qui puisse être comprise par un profane. Or nous sommes conscients que pour beaucoup, lire ce document substantiel puisse paraître insurmontable.

C'est la raison pour laquelle il est aussi essentiel de tenir compte des attentes des clients. Ces attentes sont en grande partie modulées par le contexte. Nous trouvons normal de communiquer notre adresse mail à un vendeur et sommes habitués à recevoir des mails de ce vendeur par la suite. En revanche, nous détestons que notre mailbox soit bombardée de mails indésirables. KBC tient compte de ce genre de sensibilité et des obligations légales en la matière.

KBC soigne aussi la transparence lorsqu'elle demande votre permission ou lorsque, dans l'économie 24/7, elle vous communiquer une décision en ligne.  

Sécurisation

S'il est vrai que les données sont le nouvel or, nous ne devons pas perdre de vue qu'il y a des chercheurs d'or mais aussi des brigands. KBC ne peut garantir le respect de la vie privée qu'elle prône sans accorder le plus grand soin à la sécurisation et au traitement des données. KBC a créé pour cela un département spécialisé, chargé de dépister et de surveiller les risques potentiels 24 heures sur 24.

Ce service de KBC est à l'écoute des clients désireux de signaler tout fait suspect. Ils peuvent écrire à secure4u@kbc.be ou contacter leur Private banker ou leur Wealth officer.

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Cette nouvelle ne constitue ni une recommandation d'investissement ni un conseil.